Hoy, 1 de octubre, es el Día Internacional de la Música, establecido por la UNESCO en un intento de unir a todos los pueblos.La música es un instrumento de interculturalidad, para tender puentes, para conocer a otros y para conocernos mejor a nosotros mismos,
Mediante recursos naturales variados de distintas culturas, se puede conseguir una comunicación intercultural eficaz. La amplitud de campos que nos ofrece la música es muy variada:cantos, bailes, instrumentos, sonidos corporales, juegos, etc.
¿Qué estrategias se podrían desarrollar para buscar la convergencia entre diversidad y pluralismo?
Bon soir! Desde Corrientes pongo a consideración una pieza musical considerada el himno por representar la idiosincracia de su pueblo originario.
Es el chamamé Kilómetro 11 de Tránsito Cocomarola
Kilómetro 11. Tránsito Cocomarola https://www.youtube.com/watch?v=VUYdnu0B9hM
Agrego una versión más moderna del mismo tema:
https://www.youtube.com/watch?v=og0R1B4nHF4
En réponse à Kilómetro 11. Tránsito par MonicaBAI
Bellissima!!!! Grazie Monica! :)
E' interessante notare come il gruppo moderno la interpreta in modo allegro mentre le parole sono (mi sembrano) tristi... Forse perché è diventata la canzone rappresentativa di un popolo e ricorda le origini? Perché richiama l'appartenenza ad un gruppo di persone?
Vengo otra vez hasta aquí, /De nuevo a implorar tu amor, / Solo hay tristeza y dolor, / Al verme lejos de ti, / Culpable tan solo soy / de todo lo que he sufrido / Y triste muy triste estoy. / Nunca vallas a olvidar / que un día este cantor / Te ha dicho lleno de amor / Sin ti no podre vivir, / Por eso quiero saber / Si existe en tu pensamiento / Aquel puro sentimiento / Que me supiste tener. / Olvida mi bien / Y el enojo aquel / Que así nuestro amor / Ira de nacer / Por que comprendí / Que no se vivir / Así sin tu querer,
On pourrait réecrire des chansons en changeant de langues à chaque paragraphe, où en reprenant une musique et en la changeant complètement de langue !
La comparaison pourrait être intéressante dans ce cadre de diversité et pluralisme...
En réponse à On pourrait réecrire des par Ludivine.ho
Très bonne idée
Où sinon, on pourrait décider que la langues et les parôles n'ont pas d'importance (ce qui a enfait assez souvent lieu, notamment dans des clubs de musique brésilienne en France par exemple), et que c'est la musique, les sons ou instruments spécifiques à certaines parties du monde qui priment !!
En réponse à Où sinon, on pourrait décider par Ludivine.ho
C'est vrai et très intéressant ! Cependant, je pense que c'est plus abordable pour la plupart d'entre nous (ou je suis peut-être la seule non musicienne ?) de changer la langue, de traduire les paroles plutôt que de changer la mélodie ou d'utiliser des instruments caractéristiques. Après je reste ouverte, on ne sait jamais, peut-être que nous pourrions réussir à ajouter un instrument traditionnelle à chaque changement de langue ...?
Ludivine je trouve que ton idée de réecrire les paroles des chansons en langues différentes est très bonne.
Pourquoi pas également tenter de prendre des instruments typiques d'un pays, et les utiliser sur des chansons étrangères : cela pourrait créer un mixte de culture très enrichissant, et beaucoup nous apprendre sur les pratiques musicales de nos voisins plus ou moins éloignés !
En réponse à Pourquoi pas également tenter par KarolineFontrodona
On a eu la même idée quasiment au même moment ahah. Et nous pouvons utiliser des banques de sons ou prendre des extraits d'autres musiques, comme ça nous n'avons pas besoin de trouver un joueur de chaque instrument traditionnel, ce qui me paraît compliqué bien que possible...
Bonne idée Karoline! Ceux en musicologie pourraient nous apporter leur connaissances pour adapter les instruments et pourquoi pas aussi créer des variations dans les sons pour rappeler un pays.
En réponse à Bonne idée Karoline! Ceux en par elisa_bonnard
Oui, je pense par exemple aux utilisations très différentes des modes et des tonalités : par exemple le Gamelan, un ensemble musical traditionnel originaire de Bali et Java, peut sembler très étrange à notre oreille occidentale, et cela pourrait être tout à fait intéressant de mélanger les styles musicaux afin d'ouvrir notre oreille à d'autres sons !
En réponse à Bonne idée Karoline! Ceux en par elisa_bonnard
Oui, je pense par exemple aux utilisations très différentes des modes et des tonalités : par exemple le Gamelan, un ensemble musical traditionnel originaire de Bali et Java, peut sembler très étrange à notre oreille occidentale, et cela pourrait être tout à fait intéressant de mélanger les styles musicaux afin d'ouvrir notre oreille à d'autres sons !
J'avais pas pensé aux banques de sons mais c'est une bonne idée et ça simplifierais la chose.
En réponse à J'avais pas pensé aux banques par elisa_bonnard
Oui ! Après je ne sais pas si c'est réellement exploitable pour créer une musique ? A voir...
trés bonne idée Karoline !
Dans la pure tradition bretonne : les ramoneurs de Menhirs https://www.youtube.com/watch?v=O-63EmrzzM4
C'est vrai que l'idée de "pont entre les cultures" est absolument juste. Il y a un groupe que j'adore (anglais certes) qui s'est amusé à hybrider leur style pour proposer quelque chose de différent à leur public. Pendant des années ils ont puisés dans différentes cultures (Indiennes surtout) et ceux sont des pépites. Il s'agit évidemment des Beatles, avec ici un superbe refrain (bien "in love") de (Sir) Paul Mccartney, "Michelle"!!
https://www.youtube.com/watch?v=WoBLi5eE-wY
Et sinon, le pont entre culture "underground" française, et musique hispanisante: MANU CHAO "Bongo bong"
https://www.youtube.com/watch?v=BCoP7G2K7Hc
Bonjour! (:
Je pense que bien sûr la chanson est un pont entre les différentes cultures ! Il ne faut pas tenir compte seulement du chanteur, ou de la langue de la chanson mais c'est surtout de quoi elle parle qui me semble important ! Je pense à Daniel Balavoine avec "L'Aziza" https://www.youtube.com/watch?v=O4ACXQxCgc8
Francis Cabrel avec "La Corrida" https://www.youtube.com/watch?v=080Z9sw3f_Y
ou du duo Renaud/Axelle Red avec "Manhattan-Kaboul" https://www.youtube.com/watch?v=0qeV8PDBH8E
Vous ne pensez pas que quelqu'un qui veut écrire une chanson qui fasse vraiment un lien avec un autre pays doit autant se concentrer sur les instruments, qui doivent être autant en commun avec eux que le pays qui écrit la chanson que les paroles ?
En réponse à Bonjour! (: par Greiss-Robin
Je suis d'accord avec toi! D'ailleurs beaucoup de groupes lors de déplacements pour leur concerts essayent de s'impreigner de la spécificité musicale du pays.
Je pense par exemple à Indochine qui a joué avec l'orchestre de l'opéra d'Hanoï
https://www.youtube.com/watch?v=9yxDQIFmrng
Ou à Led zepplin qui à joué pour un unplugged à Marrakech une version de "kashmiré avec un orchestre marocain rassemblant des instruments typiques du pays
https://www.youtube.com/watch?v=9vbeilE0UrQ
Querida Sandra respondo a tus preguntas sobre el chamamé "Km 11". Le dicen el himno de Corrientes, todo el mundo lo canta, todo el mundo lo conoce, todos lo bailan. ¿Por qué se llama Km 11? Antes de cumplir los 18 años Tránsito Cocomarola ya tenía su propio conjunto , el "Trío Cocomarola". En una de sus giras artísticas, el vehículo que los llevaba sufrió la pinchadura de un neumático. Mientras se lo reemplazaba, Cocomarola con otro músico comenzaron a improvisar una melodía que luego recorrería el mundo, en el kilómetro 11 de la ruta nacional 12.
Años después, el músico le pidió a Constante Aguer que le escribiera la letra. El poeta y escritor imaginó una historia de amor ocurrida en el km 11 de esa ruta..
El tema llegó a tener alcance mundial. En la Argentina forma parte del repertorio de más de 200 intépretes de renombre.
En Guaraní
Nerendápe aju jevy
de nuevo a implorar tu amor
sólo hay tristeza y dolor
al hallarme mombyry.
La culpa mante areko
de los tiempos que he sufrido,
por eso es que ahora he venido
ha kangyete aiko.
Aníke nderesarái
que un día a este cantor
le has dicho llena de amor:
"Nderehe'ỹ ndavy'ái".
Che ndaikuahái angaite
si existe en tu pensamiento
aquel puro sentimiento
rerekova'ekue cherehe.
Ani nde pochy,
ánga chendivéi.
desengañoite
mante areko.
Ha che akâtavy
anga aikuaha
nderehe kuña
che péicha aiko.
Aclaraciones sobre la pronunciación: la H se pronuncia como una J suave (parecida a la del inglés), la Y se pronuncia de forma gutural (en la garganta) entre una I y una U (parecida a la ü francesa, solo que en guaraní es más gutural)4, la ' marca una breve pausa en la que se interrumpe la pronunciación, la ^ o las diéresis (¨) indica que la vocal es nasal (se pronuncia marcándola con la nariz). La J se pronuncia como una Y del Noreste argentino (como diría "yo" un correntino). Los hablantes del guaraní correntino (correntinos y chaqueños) dicen la CH igual que en castellano, igual que los mbyá guaraní; aunque en la Provincia de Formosa y la de Misiones se lo suele pronunciar como la grafía "SH" del inglés (al igual que en Paraguay). Por último, hay que decir que en guaraní solamente se acentúan gráficamente las palabras cuando no son agudas; cuando no aparece acento en todo la palabra significa que la acentuación va en la última sílaba (aunque no este gráficamente marcado). Esto es así ya que mayoritariamente las palabras en guaraní son agudas
En réponse à Querida Sandra respondo a tus par MonicaBAI
Obrigada por essas informações sobre a pronúncia do guarani! :) Assim a gente vai se aproximando cada vez mais dessa língua!!