le nationalisme dans l'éducation

Quand je pense à l'exécution de l'hymne national dans les établissements d'enseignement, je me souviens de ma mère. Elle a vécu dans le régime dictatorial brésilien, où il faut toujours chanter l'hymne national avant le cours. Moi-même, j'avais eu un seul moment où il fallait d'entonner l'hymne, c'était dans une école attachée au gouvernement, mais sans être obligatoire aux élèves. Ces cas sont différents entre eux, le premier est une imposition d'amour à la patrie et le deuxième est une  façon d'éduquer les élèves à chanter bien l'hymne.

Penso que a les aules no hauría d'haver cap imposició a nivell de pensament, cultura o religió. Hauríem de poder parlar de tot amb els nostres alumnes sempre des del respecte a les diferents formes de pensar i opinar, dels diferents sentiments de pertinença o no a cultures o religions...

Creo que el amor a la Patria es un valor, y que no tiene que ver con ideologías, religiones o fanatismos. Todos podemos respetarnos, no obligar a los demás a que piensen y opinen como nosotros, pero este valor es el que permite construir una Nación en la cual todos nos respetemos, cumplamos las leyes y busquemos el "bien común" para todos los que habitan el mismo suelo. Argentina fue un crisol de razas y la educación significó unificar estos inmigrantes que tenían sus propias lenguas, constumbres y valores. Por eso en la primera etapa de la formación de nuestra Nación la educación fue el medio utilizado para ser "Argentinos". Este concepto es difícil de entender cuando miles de años sostienen las mismas tradiciones culturales que unen a las personas. Acá estaba todo por construirse y el amor a la Patria a través de sus símbolos patrios permitió que, en cierto modo se lograra. 

Si bien la película es de una etapa histórica relacionada con la dictadura, los fundamentos de esta costumbre son anteriores y no tienen que ver con la imposición de ideologías.

Bon dia, jo crec que l'escola ha de ser oberta a tothom, laica, i que no ha de tenir en compte els colors, la religió o la ideologia dels infants. Els nens i nenes van a l'escola a aprendre i els valors que se'ls ha de transmetre des de l'escola són el de la solidaritat, la tolerància, el respecte envers els altres... El que entenem com a "Nació" va lligat a un sentiment, que pot ser (o no) compartit pels demés nens i nenes del centre educatiu. No voldria entrar en política, però és una mica el que està passant a Catalunya actualment, que és un debat constant. En conclusió, la bandera és un símbol de la Nació i no crec jo que hagi d'entrar als centres educatius.

je pense que cela depend de la politique du pays si le pays est une dictature les eleves ne veulent peut etre pas forcement le faire et je trouve sa dommage qu'on leurs impose.Je pense aussi que l'ecole est un lieu pour s'instruire et meme si il est important de connaitre l'histoire de son pays il n'est pas forcement neccessaire de chanter l'hymne national . 

Bonjour, je suis vraiment d'accord. Sans aller jusqu'au films de propagande qui sont fait pour emmener les jeunes sur un terrain miné (au figuré comme au sens propre), je pense que l'école, en cadrant avec du nationalisme, ne fait que réduire les possibilités d'expression et de vision des enfants. Il y a tant à apprendre sur les valeurs humaines  que ne sont possibles que de tous petits pas ...et pourtant essentiels à l'avenir de l'humanité. Certaines familles pensent parfois à éduquer leurs enfants dans ce sens mais il est difficile d'être totalement hors des contraintes du ''privé'' comme l'école a la possibilité d'être .   A bientôt   Annick

Je pense que l'obligation de chanter l'hymne national n'a pas forcément sa place à l'école. Ou alors, ils peuvent l'apprendre une fois, au titre de culture, mais personne ne devrait être obligé de le chanter. Certaines valeurs plus importantes et humaines que le nationalisme ne sont pas forcément représentées et expliquées aux enfants. Je trouve cela dommage personellement.

Buogiorno a tutti. Sono più tosto d'accordo con le vostri intervenzioni, ma penso che oltre il fatto di legarsi a un nazionalismo, o ancora al fatto di un regime dittatoriale. Penso che la cosa più sbagliata nel fatto di educare la gioventù (-i giovanni) a riflettere in termine di "nazione", limita la visione che potrebberono avere del mondo. Non vano riflettere in termine d'umanità e vano pensarsi parte di un paese allora che tutti quanti facciamo parte del mondo. E è, secondo me, il migliore modo di creare problemi, il fatto di isolarsi, di credere che i problemi del vicino sono di pocca importanza e che non dovremmo cercare da aiutarlo perché sono di un altro paese. Vediamo abbastanza le conseguenze di questo modo di pensare in Mediterraneo con tanta gente che rischia la propria vita per fuggire l'inferno della guerra, le epidemie, o che sta solo cercando di fuggire la miseria economica. E rischiano la loro vita su degli imbarcazioni si sfortuna soltanto perché i governi non vogliono accoglierli perché vengono di un altro paese, al posto di considerarli come esseri umani come noi tutti e di dare una mano per solidarietà. Dunque trovo disgostoso l'educazione alla nazione, non perché sarebbe sforzata, che sarebbe il simbolo di una dittatura (perché penso di più che tutti regimi d'autorita (anche la democrazia come è vista oggi) è una dittatura, e che l'unica liberta è interiore) ma soltanto per il fatto che ci allontana dal fatto che siamo tutti umani e tutti uguali e che ci stiamo creando confliti per una concezione falsa, che abbiamo creato nella nostra menta, la nazione, e mi arrabbia quando vedo su i monumenti ai morti "Morti per la Francia/ L'Italia/ La Germania" dovrebberono mettere "Morti per Stupidita Umana". Dunque sono proprio contro questo genere d'educazione retrograda e corruta. 

Il nazionalismo a scuola o in altri contesti è molto pericoloso; trasmettere l'idea che la 'tua terra o la tua lingua' siano migliori delle altre è quanto di meno educativo esista.

Le lingue, le culture e anche alcune 'tradizioni' devono essere tutelate, certo, anche le minoritarie, ma devono servire per aprirsi e per mischiarsi, non per chiudersi a riccio; d'altronde la storia dell'umanità è proprio questo: il melting pot. Non esiste l'identità, ma tutte/i noi siamo costituite/i da identità plurime.

A tal proposito trovo significativo il discorso che propone Ofelia García sul translanguaging https://ofeliagarcia.org

Je suis d'accord avec les deux derniers commentaires : le nationalisme ne doit pas se trouver à l'école. Les élèves de toutes les écoles que j'ai fréquenté n'avaient pas les mêmes origines. Certains ne parlaient pas français ou n'avaient pas la nationnalité française et je pense qu'il y a ce genre de cas dans pleins d'écoles dans tous les pays. Forcer tous les élèves à chanter l'hymne nationnal est alors totalement débile.
Ca renforce aussi une "solidarité nationnale" qui n'a pas sa place. Il ne faudrait pas une "solidarité nationnale" mais une "solidarité internationnale". Je pense qu'à l'école, il ne faudrait pas transmettre l'envie d'aider son pays mais l'envie d'aider le monde. Ne pas ignorer ses voisins parce qu'ils ne sont pas nous. De plus, nous sommes proches et si un problème les touche, il peut toucher tout le monde. Nous habitons tous sur une seule Terre et nous voyageons beaucoup. Il faut renforcer l'envie de découvrir ce qu'il y a hors de notre pays, pas l'envie de s'enfermer dans nos terres ou de nous battre. Les traditions sont intéressantes si on peut les partager et découvrir comment ça se passe ailleurs. Partager et renforcer les liens est ce qui peut nous permettre d'avancer. Il ne faut pas que l'on reste dans notre coin à essayer de faire grandir notre pays au dépend des autres.

Nous ne sommes pas des peuples de pays. Nous sommes une nation de la Terre. Nous sommes tous des êtres humains, le nationalisme n'est qu'un concept que l'on a créé et qui ne devrait pas nous empêcher de découvrir ou d'aider les autres. (Malheureusement, avec la montée du nationalisme dans beaucoup de pays, des faits comme l'accueil déplorable des migrants montrent que cette mentalité n'est pas prête de s'installer.)
Ne pas considérer le nationalisme comme un point important de l'apprentissage permet aux enfants, les acteurs de demain, de commencer la vie avec une meilleure volonté d'aider. Ce sont eux qui construiront le monde dans le futur, il faut les préparer de la bonne manière.

Bonjour ! Je suis complètement d'accord avec tout ce qui a été dit précédemment, ou presque ! 

Je partage votre avis mais je parlerai plutôt de "patriotisme" que de "nationalisme". Il ne s'agit davantage ici d'imposer aux citoyens d'aimer leur pays et de le prouver que de détester les autres pays (EN THEORIE). Mais le problème reste le même en effet et je suis d'accord avec le fait qu'il est très dommage d'imposer, surtout à l'école, de chanter l'hymne national. Car si cela relève théoriquement du patrotisme (qui doit d'ailleurs être remis en question lui aussi), ceux qui souhaitent imposer l'hymne national à l'école semblent le faire effectivement non pas par patriotisme mais par nationalisme, en France en tout cas. Comme si celui qui ne chantait pas l'hymne national trahissait sa patrie... Mais comment se soumettre à des obligations pareilles lorsque ceux qui en sont à l'origine sont bel et bien des nationalistes ? Surtout en ces temps j'aurai beaucoup de mal à me dire fier d'être français... 

Bonne soirée quand même ! ;)