Pendant le projet Redinter, plusieurs chercheurs se sont penchés sur la définition de l'intercompréhension, ou plutôt sur ses définitions. On lira ou relira l'article de Christian Ollivier qui en a résulté. Il fallait réunir divers courants qui avaient travaillé dans des directions différentes, essentiellement les textualistes, les connectivistes et les oralistes. Comme terrain d'entente, on a donc alors pris en considération : « les pratiques qui utilisent le dialogue plurilingue, où chacun s’exprime dans sa langue, ou les pratiques qui préparent à ce type de dialogue ».