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Prolongements de Lectŭrĭo+

Infos

Le projet Lecturio+ s'est terminé le 30 novembre 2019. On trouvera tout sur ce projet dans ces pages.

Il s'est terminé par une sorte de promesse dans le rapport final qui est le fruit des débats entre les partenaires pendant leurs réunions.

Voici  le texte qui décrit ce qui constitue des pistes de travail pour l'Apicad et pour ses partenaires dans ce projet :

« L'Apicad, qui a coordonné le projet, est une association qui a déjà dans ses propres objectifs d'association, des objectifs tout à fait concordants avec ceux du projet. Il est donc dans la logique de son action qu'elle poursuive le travail commencé pendant le projet. Cette action se justifie non seulement parce qu'il est évident que beaucoup de possibilités se sont présentées pendant le projet qui n'ont pas pu être exploitées, mais aussi par le fait que toutes les réalisations sont elles-mêmes perfectibles, d'où un double sentiment d'inachevé qui appelle à la continuité des travaux.
Cette question a été débattue lors des deux dernières réunions transnationales et il en ressort les diverses directions ci-dessous que pourra prendre cette continuation.
Un nouveau projet Erasmus+ « Échanges de pratiques » pourrait être déposé. Il aurait du sens parce que désormais des liens forts existent entre la Corse, la vallée d’Aoste, la Catalogne, la Sarre, Andorre, etc. et que nos thèmes ont progressé dans l’opinion depuis le début du projet. Le but serait de continuer sous forme de mise en œuvre, d’utilisation des sacs d’histoires, du défi du numérique, de formations à ces pratiques. L’idée est de continuer dans l’esprit du projet mais pas de refaire la même chose. Il y a l’intérêt de rallier de nouveaux partenaires dans des régions favorables et sensibles, la Belgique, le Luxembourg, les INSPE (de Lyon, de Sarreguemines, etc.). Des questions intéressantes et non résolues pourraient être mises en débat dans un futur projet : « Les sacs d’histoire sont-ils une approche plurielle ? », par exemple.
Un simple partenariat autour de l’Apicad peut se faire, par exemple pour la création d’un nouveau cours en ligne sur le plurilinguisme, dans la suite de notre expérience avec les productions intellectuelles O4 et O5.
Il s'agit aussi d'ouvrir les portes à d'autres partenaires nouveaux, tout en restant ensemble, et en se structurant. L’ensemble des participants exprime le désir de former un nouveau collectif.
L'idée de créer une application pour les contes en ligne a été lancée dès la première réunion transnationale, mais cette application demande un budget trop important qu'il faut d'abord chercher. Un tel projet pourrait rentrer dans le prolongement du projet Lectŭrĭo+ comme une action de l’Apicad avec des partenaires. Deux documents existent déjà qui définissent ce projet d’application, l’un d’eux est une synthèse de ce que nous avons dit depuis la première réunion transnationale et l’autre est une proposition de l'auteur de Thomas et la pastèque.
Le corpus de contes sera maintenu et enrichi par l’Apicad, ainsi que la diffusion et l’enrichissement de toutes les autres ressources éducatives libres. C’est une action qui coïncide tout à fait avec les buts de l’association. Il s’agit de garantir durablement une utilisation de ces ressources auprès des publics qu’elles visent.
Les formations continueront à être proposées, et notamment l’école d’été. Les trois formations créées seront améliorées, éventuellement dupliquées et modifiées, enrichies de nouvelles formations sur la même plateforme Canvas.
En tant qu’organisme de formation, l’Apicad enrichit avec ces formations son catalogue de formations initiales et continues.
Des travaux de recherche d’étudiants ont déjà commencé sur les résultats du projet (des mémoires de Master à Lyon 2, à Corte, à Rome, et en Sarre).
Il est envisagé aussi de proposer aux bibliothèques d’utiliser nos productions. »